A propos

Laura Hanno

Qui suis je ?

Sage-femme & accompagnante à la naissance et à la parentalite, je suis également maman de bientôt quatre lutins et lutines plein de vie ! Douce et pétillante à la fois, j’aime la nature et la lecture – Ce qui pose parfois problème question espace car je suis également une grande collectionneuse d’ouvrages dès qu’un sujet me passionne.

J’ai découvert le monde de la naissance à 20 ans, et suis littéralement tombée en amour des naissances libres lorsque je suis devenue maman pour la première fois, à 27 ans. Devenir maman a été pour moi une révélation; j’ai littéralement découvert un monde de possibles qui est venu bousculer mes représentations de la naissance, de la maternité et de l’enfance. On dit que dans la vie on ne cesse d’apprendre et de grandir, je l’ai appris malgré moi. C’était comme un élan naturel, un instinct tellement fort qu’on ne peut que lacher prise et se laisser porter. Magique !

Laura

Madre Tierra

L’éclosion

Madre Tierra

Au fil du temps et des rencontres qui m’ont été donné de faire, l’idée de créer une communauté s’est dessinée. Pas à pas. Cheminement faisant, des projets ont pris forme. Des idées folles de partage, de sens, de village. Une maison de naissance, un lieu de partage organisé autour des Mères, des parents, des familles. Pour réunir. Echanger. Apporter sa pierre pour faire bouger les choses. Pour nous, mais aussi pour nos enfants et les enfants de demain.

Au delà des frontières

Madre Tierra, au delà des frontières, c’est un doux rêve de pouvoir partager toute cette bienveillance et cette douceur auprès des mères d’Amazonie péruvienne. Car avant de naitre, Madre Tierra est également issu d’une rencontre entre une sage-femme belge (Eh oui, on parle de moi là) & d’un maîeuticien péruvien (Qui par la force des choses est devenu le père de mes enfants). La rencontre de deux cultures, de deux mondes différents et tout aussi riches. Un pays qui m’a ccueilli à bras ouvert, qui m’a porté, m’a appris sur moi-même et sur la force de la résilience.

Mais aussi une région, San Martin, sauvage et merveilleuse où tout est encore à faire. Où vivent des parterras fabuleuses qu’on a brimé au profit des cliniques privées et des hopitaux publics. Une région où le taux de césariennes reste scandaleusement élevé et où la naissance bien souvent se vit de manière peu humanisée.

Madre Tierra devient l’espoir de redonner aux Mères’veilleuses amazoniennes leur plein pouvoir et la confiance en leur corps.